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C’est la consternation la plus complète en France après la qualification du Paris Saint-Germain face à Dortmund pour les quarts de finale de la Ligue des Champions, avec des scènes de désespoir dans plusieurs villes.

L’immense majorité de la France du football était jaune et noire hier, et personne n’arrive à comprendre comment une équipe de starlettes arrogantes bâtie à coups de millions étrangers et pilotée par un président tennisman sans autorité, constituée de brésiliens qui se roulent par terre ou pleurnichent, de jeunes champions du monde avec un gros melon à la place de la tête, de latéraux gauches aux pieds carrés et au QI d’huitre, de défenseurs centraux qui n’ont pas le niveau mais ont des frères gênants, de soi-disant buteurs uruguayens qui ne cadrent pas une frappe, et entrainée par un allemand qui n’y connait rien en tactique, ont pu éliminer l’équipe dans laquelle joue quand même le meilleur jeune espoir norvégien du moment, qu’ils ont chambré et humilié ensemble à la fin du match.

Mais tous les espoirs français ne sont pas perdus, et reposent à la fois sur le Bayern et le coronavirus.